Depuis le début des années 2020, les dépenses d’investissement initial (appelées CAPEX, pour “capital expenditure”) d’un projet éolien terrestre sont de 1 700€ HT/kW en moyenne1. Sachant qu’une éolienne standard dispose d’une puissance moyenne de 4 MW (soit 4 000 kW), elle représente à elle seule un coût d’investissement d’environ 4.8 millions d’euros (1.2 M€/MW).
Cet investissement initial moyen prend en compte :
Depuis 2010, les coûts d’investissement éoliens ont diminué de 10 % (1 520 € HT/kW)[1], ce qui contribue à réduire le coût de production de l'énergie éolienne.
Au niveau des coûts de maintenance d’une turbine éolienne, il faut prévoir environ 50 000 € par MW et par année[2]. Ainsi, le budget dédié à l’entretien et la maintenance d’un parc éolien terrestre varie principalement en fonction de sa capacité et du nombre d’éoliennes qui le composent.
Le retour sur investissement d’un parc éolien varie en fonction de différents facteurs (gisement éolien, nombre d’éoliennes, caractéristiques techniques, conditions météorologiques, modalités de financement...). Cependant, les éoliennes terrestres sont assurément des installations rentables. En France, leur valeur est répartie entre :
Plusieurs modèles économiques permettent de financer le développement d’un parc éolien. Généralement, le projet est financé dans une logique de codéveloppement. Il peut impliquer un ou plusieurs développeur(s), les collectivités territoriales, ainsi que les citoyens (directement au capital des projets ou par du financement participatif). Pour favoriser le déploiement des énergies renouvelables en France, et notamment des éoliennes, l’État a mis en place des dispositifs de soutien, à travers un mécanisme de complément de rémunération.
Pour une éolienne terrestre d’une capacité de 4 MW, il faut prévoir un budget initial de 4,.8 millions d’euros en moyenne. Ce prix dépend de nombreuses variables, telles que les caractéristiques de l’éolienne (hauteur, longueur de ses pales...).
Oui, les éoliennes sont des installations rentables. Cependant, la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) s’assure de garantir une rentabilité suffisante et raisonnable des projets éoliens. Cette dernière est basée sur l’équilibre entre les dispositifs de soutien existants en France et la compétitivité des prix proposés par les exploitants.
Ces dernières années, produire 1 MWh grâce à un parc éolien terrestre coûtait en moyenne 60 €[3]. Ces coûts intègrent l’ensemble des étapes de cycle de vie d'un parc éolien, de l'achat des éoliennes à son démantèlement, en passant par la maintenance des installations.
La rentabilité d’une éolienne domestique varie en fonction de nombreux facteurs, tels que son coût d’achat initial, sa bonne exposition au vent, sa puissance, sa capacité de production d’électricité à l’année, ainsi que le modèle économique choisi (autoconsommation, revente de tout ou partie de l’électricité produite).
Quel que soit le développeur du projet éolien terrestre, il faut prévoir un investissement moyen de 1 700€ HT/kW[1]. Pour une éolienne ayant une puissance de 4 MW, les coûts investis sont à hauteur de 4,8 millions d’euros.
Sur le marché, on trouve deux types d’éoliennes domestiques, permettant d’assurer la production d’électricité. On distingue l’éolienne à axe horizontal, la plus couramment employée et la plus performante, et l’éolienne à axe vertical, moins chère et moins imposante.