Indispensable à la transition énergétique, l’énergie solaire permet de produire de l’électricité ou de la chaleur grâce au soleil. Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur le fonctionnement, le rendement, les avantages et les limites de cette énergie verte.
L’énergie éolienne est issue de l'énergie cinétique du vent. Avec la force et la vitesse du vent, les pâles et le rotor de l’éolienne créent un mouvement, permettant de produire une énergie mécanique. Cette dernière est transmise à un générateur qui la transforme en courant électrique. Un transformateur se charge ensuite de convertir ce courant électrique en électricité, pour assurer son intégration sur le réseau public.
Le rendement d’une éolienne traduit sa capacité à convertir l’énergie cinétique du vent en électricité exploitable : il se situe généralement entre 20 et 60 %. Ainsi, le rendement d’une éolienne est très variable, car il dépend de nombreux facteurs, tels que :
L'impact environnemental de l’énergie éolienne est faible : elle fait partie de la famille des énergies renouvelables (c’est-à-dire qu’elle est inépuisable à l’échelle du temps humain) et sa production n’émet pas de gaz à effet de serre ou de polluants, ni de déchets. Elle apparaît comme un levier indispensable de la transition énergétique de la France et une réponse à la crise climatique actuelle.
Le développement d’un parc éolien constitue une opportunité économique pour les territoires. En effet, les éoliennes stimulent l’économie locale, dans le sens où elles permettent de créer des emplois (fabrication, maintenance des installations...) et qu'elles assurent aux collectivités territoriales de bénéficier de revenus fiscaux. L’occasion pour elles de développer de nombreux projets locaux
L’énergie éolienne a l’avantage d’être produite et consommée localement. Elle favorise ainsi l’indépendance énergétique de la France, en permettant de limiter les importations de produits énergétiques fossiles. Elle contribue à diversifier le mix électrique français et répondre aux besoins énergétiques croissants.
Le caractère intermittent de l’énergie éolienne constitue l’une de ses limites : elle ne produit pas d’électricité constamment, mais 90 à 95 % du temps (ce qui est loin d’être négligeable !)[1]. Malgré cela, la production éolienne s’intègre très bien dans le réseau d’électricité, notamment grâce aux solutions qui permettent aujourd’hui de prévoir la production d’énergie issue du vent.
Les investissements nécessaires au développement des parcs éoliens terrestres peuvent également apparaître comme un frein. En revanche, le coût de production de l'énergie éolienne tend à diminuer, passant de 82 €/MWh en 2016 à 60 €/MWh pour l’année 2021[2]. Cette baisse devrait continuer à se poursuivre.
Les éoliennes sont souvent vues comme des installations responsables de pollutions visuelle et sonore et sont parfois accusées de détruire la biodiversité (oiseaux, chauves-souris...). En réalité, l’installation des éoliennes répond à une réglementation spécifique : l’implantation de parcs éoliens nécessite des études préalables et une communication transparente avec tous les acteurs locaux (riverains, agriculteurs, élus, associations...) pendant toute la durée de vie du projet (du développement à l’exploitation du parc, en passant par la phase chantier). L’objectif ? Garantir la bonne acceptabilité et la bonne intégration des éoliennes dans leur environnement.
L’énergie éolienne est une source d’énergie dépendant du vent. L’éolienne parvient à transformer l’énergie cinétique du vent en énergie mécanique, permettant ainsi de produire de l’électricité.
L’énergie éolienne fonctionne grâce au vent. Avec la vitesse et la force du vent, les pâles et le rotor de l’éolienne créent une énergie mécanique. Cette dernière est transmise à un générateur puis un transformateur, qui la convertissent en électricité.
L’énergie éolienne est renouvelable, inépuisable et produite localement. Sa production n’émet pas de gaz à effet de serre, ni de déchets toxiques. Elle constitue un levier indispensable de la transition énergétique de notre pays. L’implantation d’un parc éolien terrestre permet, par ailleurs, de dynamiser l’économie des territoires.
L'un des principaux inconvénients de l’énergie éolienne est son caractère intermittent : même si on parvient aujourd’hui à la prédire, sa production varie en fonction des périodes et des conditions climatiques. Des études préalables sont par ailleurs indispensables pour limiter l’impact du parc éolien sur le plan local (inconfort visuel et sonore pour les riverains, troubles de la faune et la flore...).
On distingue 3 types d’éoliennes : l’éolienne terrestre, offshore ou flottante. Les éoliennes terrestres sont implantées sur des terrains bien exposés au vent. Les éoliennes offshores reposent sur les fonds marins et sont implantées dans l’eau, au large des côtes. Les éoliennes flottantes sont quant à elles montées sur des structures flottantes, disposées sur l’eau.